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Futaba Yue - It's a unicorn story

Futaba Yue
yunicorn
princesse des peluches

Futaba Yue



     
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Futaba Yue
over the rainbow

surnoms ;; onee-chan / futababa date de naissance ;; 21.08.1995 lieu de naissance ;; Osaka, Japonorigines ;; japonaises état civil ;; coeur à prendre mais mariée à Kokoorientation sexuelle ;; expliquez lui...profession ;; youtubeuse, (ex)idole personnage ;; amwah groupe ;; licorne avatar ;; bang minah


— sous la surface
D’un naturel enjoué et enthousiaste, Yue a le sourire greffé sur le visage. La positive attitude est une religion chez elle. Rire, encourager les autres, se montrer motiver et énergique… C’est tout un programme ! Elle n’est pas difficile à vivre si l’on supporte sa bonne humeur constantes, mais certain ont tendance à penser qu’elle en fait même trop … Mignonne est son homonyme. Elle respire la mingonneté, ce dont elle a plus ou moins conscience depuis qu’elle est devenue idole, ainsi que l’innocence, ce qui la rend plutôt naïve sur beaucoup de choses… à commencer par tout ce qui concerne sa relation avec l’amour L’amour est d’ailleurs sa matière la plus faible de loin devant la danse Ce qui ne l’empêche pas d’être une personne très à l’écoute capable de conseiller ses amis… tant qu’elle n’est pas directement concernée Elle se lie facilement d’amitié avec les autres Proche de sa famille, malgré une large absence de ses parents étant petite, elle sait tout ce qu’ils ont fait pour elle et a grandi au sein d’un cocon chaud et protecteur. Elle devenu grande-soeur de la petite Kimi, au cours de son lycée, dont elle est totalement gaga Très franche, elle déteste les injustices et se montre beaucoup plus téméraire qu’elle n’en a l’air

Même si Yue est très naturelle, elle est très attachée aux apparences et  garde toutes les émotions négatives pour elle Sa joie presque permanente ne l’empêche pas d’être une personne assez sensible, voire émotive, et si elle se fiche de pleurer de joie, rare sont ceux qui l’ont déjà vu pleurer pour autre chose Pour beaucoup de raisons, elle craint de décevoir les autres et possède une volonté maladive de bien faire. De ce fait elle se met naturellement beaucoup de pression, même si elle a aujourd’hui beaucoup progressé sur cet aspect, et n’hésite pas à mentir sur son état de santé ou son état émotionnel Même si elle se le cache, elle est plutôt jalouse et possessive. C'est liée à cette peur enfouie en elle de perdre ceux qu'elle aime Très maladroite, plutôt gaffeuse, certains la considèrent comme étant trop insouciantes et pas assez responsable ce qui la chagrine beaucoup

Chanter est sa première passion, elle s’efforce toujours de progresser dans le domaine Elle aime les mangas, l’animation, les jeux video - fan de Pokemon et d’Uncharted #destinytotheKotanifamilly - Elle a toujours rêvé de devenir seiyu C’est aussi un véritable cordon bleu Elle dessine plutôt bien Elle aime aussi tout ce qui est mignon, y compris être mignonne même si cette image lui joue aujourd’hui des tours… Elle a peur du vide depuis qu’elle est tombé dans le lac Elle gonfle les joues quand elle est contrariée


— derrière l'écran
pseudo ;; écrire ici âge ;; écrire ici autres comptes ;; écrire ici le mot de la fin ;; écrire ici

Futaba Yue
yunicorn
princesse des peluches

Futaba Yue



     
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— un petit brin d'histoire
Le 21 Aout 1995, dans une maternité d'Osaka naissait la petite Yue. Au creux des bras de Futaba Yoko et sous le regard tendre et plein de promesses d'amour de Futaba Sôichirô, le petit bébé connaissait ses premières minutes de vie dans un monde qui lui préparait un long chemin jusqu'au sommet...

Ses débuts - Yue a grandi en tant que fille unique au sein d'une famille aimante et très protectrice. Yoko-san était une infirmière douce et soignée dans un hôpital à Osaka et connaissait chaque jour les risques de la vie ; Sôichirô-san travaillait au sein d'une entreprise florissante et côtoyait plus que personne le monde des affaires et ses côtés noirs. Il connaissait la face sombre que les gens dévoilaient dans ce milieu régit par l'argent et ceux qui savaient montrer les crocs et que n'hésitaient pas à blesser leurs adversaires pour parvenir à leurs fins.
De ce fait, les Futaba élevèrent leur enfant dans un cocon protecteur, ayant dans l'idée de lui éviter lui plus de blessures possibles que la vie pourrait lui infliger.
Yue était une enfant joyeuse, sujette à l'émerveillement. Ses années de primaire furent des plus normales. La jeune fille avait une certaine facilité à se faire des amis, de par sa sympathie naturelle, communiquer grâce à l'extreme positivité que ses parents cherchaient à lui transmettre. Evidemment tout n'est jamais rose, et cet aspect de sa personnalité avait tendance à en agacer certain et elle n'était pas sans petits ennemis.
En grandissant, ce fait demeura. Au collège, Yue avait des amis et des gens qui ne l'aimaient pas. Mais dans quel monde peut-on être aimé de tous me diriez-vous ? Ainsi, Futaba Yue eut une enfance parfaitement normale, sans évènements particuliers.

L'éveil - J'ai menti. J'ai menti tout à l'heure en disant que Yue était parfaitement normale. Il y avait bien une chose que la jeune fille avait en plus des autres enfants : elle chantait. Mais genre... Tout le temps ! En se levant, elle fredonnait. En mangeant, elle chantait à ses parents les chansons de la choral de l'école. En se douchant, elle donnait des concerts de Britney Spears. En se couchant, elle chantait. Très vite se succédèrent, la chaîne hi-fi, au baladeur cd, puis au mp3, jusqu'aux premiers Ipod qu'elle conserva comme la prunelle de ses yeux. Yue aimait la musique. Elle apprenait le solfège, jouait de la guitare et du piano et vous pouviez être sûr qu'en cas de choral à l'école, elle ne manquerait jamais une représentation. Il est alors naturel de penser que la jeune nippone se destinait dés le plus jeune âge à suivre une voie dans la musique. Et pourtant... Pas vraiment.
Vers ses 13 ans, Yue avait une tout autre vision de son avenir. Elle adorait les mangas et l'animation japonaise -et c'est aujourd'hui encore le cas. Sa chambre était remplie de tomes en tous genre, de dvds en passant par les film d'animation du Studio Ghilbi. Sur les murs il y avait même des dessins qu'elle reproduisait elle-même. De ce fait, Yue avait pour ambition de devenir seiyu - c'est à dire, doubleuse de personnage animé. Elle prenait même des cours de théâtre. Ses parents prenait ça comme une de ses nombreuses autres passions, sans trop de sérieux. Ils ignoraient que leur petite fille s'amusait avec des amis, à poster sur la plateforme Youtube, des "Fan-dub" d'extraits de divers animés. C'était à la fois un passe-temps et un exercice pour Yue. Elle avouait s'amuser plus à le faire que par réelle ambition de se faire remarquer. De plus, le nombre de vues était très modeste. Jusqu'à ce qu'un jour, elle s'amuse à mêler sa passion du chant à celle de l'animation, en reprenant des titres d'openings d'animes. Elle faisait ça régulièrement, switchant entre openings/endings, single d'idole japonaise ou coréenne. Ces vidéos rassemblèrent une petite communauté qui régulièrement lui parlait de l'académie Eita, pour mettre à profit ses talents. Cependant, même si la question de cette académie de Tokyo était de plus en plus récurrente, la jeune fille hésitait. Elle connaissait le prestige de cette école et la difficulté qu'il y avait pour y entrer. Même si on lui avait plusieurs fois dit qu'elle avait quelque chose, elle restait persuadée que cela serait insuffisant pour intégrer l'école. Pourtant, ce n'était pas faute de rêver secrètement à la vie d'une idole. Elle l'imaginait excitante, toujours sous les feux de la rampe. Et puis, il y avait cette promesse…
À la fin de sa dernière année de collège, quand les examens d'entrée au lycée approchèrent et qu'il fallut se décider pour l'année suivante, Yue parla de l'académie Eita à ses parents. Ces derniers, dans un premier temps s'y opposèrent : l'académie était à Tokyo, ce qui signifiait qu'elle devrait quitter Osaka, qu'elle serait loin d'eux et de leur protection. De plus, devenir idole était un rêve bien trop difficile à réaliser, pas aussi rose qu'elle pouvait l'imaginer, et éphémère. Selon eux, cette idée lui passerait très vite et il valait mieux qu'elle se concentre sur de véritables études.
Malgré ce premier échec qui la chagrina beaucoup, Yue ne voulut pas laisser tomber. Elle avait décidé qu'elle irait dans cette école, quitte à falsifier elle-même les documents ! Avec l'aide de ses amis, elle monta une série de plans pour convaincre ses parents : chanter très fort dans sa chambre, connecter son ordinateur à la télévision pour qu'ils voient ses vidéos de doublage et cover, démonstration de guitare dans le salon.... et attirer ses parents à une représentation en groupe improvisée dans le garage. Ils eurent même droit à l’intervention de leur voisin, célèbre idole dont la mère s’occupait régulièrement de Yue petite, pour tenter de les convaincre. Après tous ses efforts, Yoko-san et Sôichirô-san s'avouèrent vaincus : ils ne pouvaient rien contre la volonté inébranlable de leur fille. Elle était heureuse en chantant, et ça, ils ne pouvaient l'ignorer. Finalement, peut-être n'était-ce pas un rêve de passage... C'est le cœur lourd que tous les trois commencèrent à remplir les dossiers pour la Eita Académie.

La Eita Académie - Yue fut acceptée de justesse. En effet, bien qu'elle soit loin d'être une mauvaise élève, ses notes n'étaient pas excellentes non plus. Cependant, l'académie releva chez elle sa forte détermination, ses efforts et ses capacités vocales. En effet, le fait d'avoir déjà une petite communauté derrière elle l'aida à se faire accepter, d'autant plus que si elle n'était pas parfaite au niveau des matières basiques, elle couvrait un large champ artistique. Dessin, théâtre, musique et chant. C'est ainsi qu'elle quitta sa ville natale pour Tokyo, soit l'internat de la Eita académie. L'expérience fut exaltante, mais pas de tout repos. Il fallait combiner les matières générales dans lesquelles elle devait fournir plus d'effort, et les matières artistiques qui, bien qu'elles concernassent sa passion, demandait une haute exigence. Durant les 3 ans, Yue put se rendre compte à quel point ses parents avaient raisons : devenir une idole était loin d'être facile et accessible à tous. De plus, dans cette école où seuls les plus talentueux pouvaient étudier, il n'était plus question d'avoir quelques capacités, mais de savoir au mieux les exploiter pour rester au niveau. Malgré tout, Yue s'acharna pour obtenir des résultats. Elle se surmenait, à tel point que lors de sa première représentation lors d'un évènement organisé par l'école, Yue resta tétanisée sur la scène, incapable de sortir le moindre son de sa bouche.
En dépit de ce premier échec, Yue est remontée sur scène et fit ses preuves.
Elle obtint son diplôme à la fin du cursus et opta pour continuer ses études à la Eita Académie dans l'enseignement optionnel, afin de se perfectionner et atteindre l'objectif qu'elle s'était fixé.

Dès les premiers mois, Yue senti le niveau d’exigence plus élevé. En danse notamment, son point faible. Elle était une telle catastrophe que le professeur, à l’époque l’idole Yamashita Tomohisa, lui proposa de lui donner des cours particuliers et les progrès se firent ressentir. Acharnée, Yue ne lâcha rien et à sa grande surprise, elle se fit remarquer par le label qui la nomma trainee, puis Junior où elle intégra le premier groupe de l’agence en tant que backdanseuse. Mais convaincu que ses efforts n’étaient jamais suffisant, la nippone s’en demandait toujours plus, ignorant les limites de son propre corps… au point d’un jour faire malaise qui lui coûta presque la vie tandis qu’elle tombait tête la première dans un lac. Sauvée de justesse, elle se promit dès ce jour de faire plus attention… et le fait qu’elle se ménagea la rendit plus performante. Progressant encore, le grand jour arriva enfin…
Après avoir remporté le casting du l’agence, retransmis à la TV, Yue intégra le groupe du label avec Kamiya Erena. Elle formera quelques mois plus tard avec cette dernière, une sub-unit qui deviendra ensuite le groupe phare de l’agence suite à la dissolution de B.A.G.

Half dream came true - Après sa passion, les raisons qui ont poussé Yue à poursuivre ce rêve d’idolling peuvent se résumer en un prénom… Shirota Kô. Son meilleur ami d’enfance, son partenaire, son allié, son confident, sa moitié… Elle a tout partagé avec lui et notamment cette promesse d’un jour réussir dans la musique. Ensemble.
Ils étaient bien partis. Kô avait une voix sublime. Plus que celle de Yue. Ensemble, ils avaient réalisé beaucoup de cover, ainsi que leur propre chanson, diffusé sur la chaine de la jeune fille. C’était déjà un rêve qu’ils vivaient à deux, qu’ils devaient continuer de vivre et concrétiser… Mais Kô s’en alla. A la fin de son collège, il déménagea en Europe et ne donna plus aucun signe de vie à Yue. Six ans durant lesquelles Yue ne cessa de penser à lui et à une promesse idiote qu’ils s’étaient faits enfant. Kô ne pensait peut-être plus à elle. Kô l’avait peut-être oublié… Elle non. Elle n’avait jamais cessé de croire qu’elle le reverrait un jour… enfin… si… Il eut une période où Yue, en dépit de sa carrière montante, perdit beaucoup de personne auxquelles elle tenait… Un sentiment de solitude et un coeur lourd l’habitait au point qu’elle avait finit par presque abandonné l’idée de retrouver son meilleur ami un jour.
Cependant… peu avant de remporter son casting, au détour du couloir de l’académie… elle le trouva là. Elle le reconnut immédiatement, même de dos. Kô était revenu. Pour des raisons qu’elle ignorait mais il était là. Après des retrouvailles larmoyantes, elle lui pardonna ses années de silence et ils réapprirent doucement à se retrouver. Tout semblait allait mieux dans la vie de la jeune fille mais au fil du temps, Yue se rendit compte à quel point Kô lui avait manqué et qu’elle regrettait que trop d’avoir été promu idole sans lui. Leur temps ensemble drastiquement réduit, leur interaction aussi, Yue en souffre toujours un peu… Désormais tiraillé entre un rêve devenu réalité et une amitié à l’origine de ce rêve.
Elle n’a pas le droit de se poser cette question pourtant :

A quoi bon avoir réussi si je ne suis pas avec lui ?

All or nothing… then it’s nothing - Le rêve était trop beau, ou peut-être était-ce elle qui était trop naïve. Elle était arrivée au sommet, rien n’aurait pu plus la combler de bonheur n’est-ce pas ? Elle était devenue le centre de l’attention, partageait la scène avec sa meilleure amie, vivait pleinement l’aventure d’idole et donnait beaucoup de bonheur à ses fans.
Alors pourquoi tout était aussi difficile ?

C’est vrai qu’elle voyait moins Kô à cause de leur emploi du temps. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi il n’avait pas été promu… il était si talentueux… qu’est-ce qu’ils attendaient ? Qu’est-ce qu’elle faisait toute seule la haut ? Dans cet endroit où elle se sentait de moins en moins à sa place… Oui. Yue doutait. Surtout depuis que l’agence avait décidé d’un nouveau destin pour le groupe. Hanabi était désormais 6 et Yue n’était plus la plus jeune. En tant qu’ainé, elle devait grandir. Etre mignonne ne suffisait plus, on voulait qu’elle soit sexy. Un régime aussi semblait s’imposer, parce qu’elle n’était pas grosse mais pas assez fine. Elle qui avait essayé de se ménager pour ne plus flancher, sentait de nouveau la pression peser sur ses épaules. Elle essayait, encore et encore. Mais rien ne semblait suffisant. Les concerts s’enchainaient et on continuait de lui faire des reproches. Elle avait l’impression que même ses progrès en danse s’étaient envolé. Sa voix, sa précieuse voix, elle non plus ne suffisait plus. Elle essayait encore. Plus fort, plus dur, plus sévère…. ses limites, elle les repoussa plusieurs fois… jusqu’à ce que son corps décide pour elle d’arrêter. Jusqu’à ce qu’elle s’écroule et ne puisse plus se relever seule en cachant son faux pas…
Un séjour à l’hôpital lui valut le débarquement de ses parents à la capitale. Cette fois-ci, elle ne put rien dissimuler, les médecins leur firent part de son état… et signèrent définitivement la fin de son rêve. Après un long débat avec l’agence, ses parents remportèrent le combat et il fut décidé que Yue rentrerait chez elle à Osaka. Sans qu’elle ne puisse vraiment y faire grand chose, Yue quitta Eita, Hanabi et sa meilleure amie… et laissa son rêve à Tokyo.

Ne plus être idole aurait au moins pu avoir de bon côté. Il lui restait Kô… Même si elle se sentait anéanti d’avoir échoué, son meilleur ami avait toujours été le plus important pour elle. Elle pourrait remonter la pente et se trouver une nouvelle occupation si Kô était près d’elle….
…. Alors pourquoi Kô n’était pas là ?
Après son retour dans sa ville natale, c’est à peine si elle revit le jeune homme. Si elle priait fort pour se rétablir plus vite et pouvoir de nouveau voyager seule jusqu’à Tokyo pour le retrouver, ses prières rencontrèrent un mur quand un jour, celui qui lui avait promis de ne plus jamais la quitter, lui annonçait son départ imminent pour le continent américain. Il quittait Eita, il avait des affaires à régler…. et il terminait d’achever le coeur de Yue.
Celle qui souriait toujours, celle qui chantait tout le temps, celle qui n’avait jamais connu le tourment et le chagrin avant de quitter son cocon… celle-ci ne s’était jamais senti plus abattu, plus dévastée. Elle avait tout voulu… désormais elle n’avait plus rien.
Rien que sa famille et les morceaux brisées de son coeur… c’était déjà quelque chose en soi.
 

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